Sur des feuilles d’ail des bois provenant d’un site naturel, présence d’un jaunissement à blanchiment de la partie distale du limbe. Les autres organes sont sans symptôme. Aucun virus ni phytoplasme n’a été détecté des dommages. Considérant la nature du symptôme et de la proportion de plants atteints (50 %), les symptômes sont d'origine non parasitaire. Des conditions climatiques néfastes sont probablement impliquées. Une forte intensité lumineuse en matinée, combinée à une température très froide la nuit, peut causer de tels dommages. Au laboratoire de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ, de telles observations ont déjà été notées chez le maïs et les céréales au printemps.
 
Il s’agit ici de l’ail des bois cultivé en sous-bois, à l’ombre de chênes et d’érables. Deux cultivars ont été plantés en alternance soit un cultivar d’ail rouge (Allium tricoccum) et un cultivar d’ail blanc (Allium tricoccum var. burdickii). De gros gels printaniers sont survenus en début de saison alors que les arbres n’avaient pas encore de feuilles. Seul le cultivar d’ail rouge a montré ces symptômes, laissant supposer une plus grande sensibilité variétale au gel et aux grands écarts de température puisque les plants étaient cultivés dans le même environnement. La partie du limbe affectée est située à l’extrémité distale, ce qui signifie que les dommages sont survenus tôt au printemps, lorsque les bourgeons étaient gonflés, mais pas encore complètement ouverts ou sur les jeunes feuilles nouvellement formées.
Sur des feuilles d’ail des bois provenant d’un site naturel, présence d’un jaunissement à blanchiment de la partie distale du limbe. Les autres organes sont sans symptôme. Aucun virus ni phytoplasme n’a été détecté des dommages. Considérant la nature du symptôme et de la proportion de plants atteints (50 %), les symptômes sont d'origine non parasitaire. Des conditions climatiques néfastes sont probablement impliquées. Une forte intensité lumineuse en matinée, combinée à une température très froide la nuit, peut causer de tels dommages. Au laboratoire de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ, de telles observations ont déjà été notées chez le maïs et les céréales au printemps.
 
Il s’agit ici de l’ail des bois cultivé en sous-bois, à l’ombre de chênes et d’érables. Deux cultivars ont été plantés en alternance soit un cultivar d’ail rouge (Allium tricoccum) et un cultivar d’ail blanc (Allium tricoccum var. burdickii). De gros gels printaniers sont survenus en début de saison alors que les arbres n’avaient pas encore de feuilles. Seul le cultivar d’ail rouge a montré ces symptômes, laissant supposer une plus grande sensibilité variétale au gel et aux grands écarts de température puisque les plants étaient cultivés dans le même environnement. La partie du limbe affectée est située à l’extrémité distale, ce qui signifie que les dommages sont survenus tôt au printemps, lorsque les bourgeons étaient gonflés, mais pas encore complètement ouverts ou sur les jeunes feuilles nouvellement formées.
Sur des feuilles d’ail des bois provenant d’un site naturel, présence d’un jaunissement à blanchiment de la partie distale du limbe. Les autres organes sont sans symptôme. Aucun virus ni phytoplasme n’a été détecté des dommages. Considérant la nature du symptôme et de la proportion de plants atteints (50 %), les symptômes sont d'origine non parasitaire. Des conditions climatiques néfastes sont probablement impliquées. Une forte intensité lumineuse en matinée, combinée à une température très froide la nuit, peut causer de tels dommages. Au laboratoire de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ, de telles observations ont déjà été notées chez le maïs et les céréales au printemps.
 
Il s’agit ici de l’ail des bois cultivé en sous-bois, à l’ombre de chênes et d’érables. Deux cultivars ont été plantés en alternance soit un cultivar d’ail rouge (Allium tricoccum) et un cultivar d’ail blanc (Allium tricoccum var. burdickii). De gros gels printaniers sont survenus en début de saison alors que les arbres n’avaient pas encore de feuilles. Seul le cultivar d’ail rouge a montré ces symptômes, laissant supposer une plus grande sensibilité variétale au gel et aux grands écarts de température puisque les plants étaient cultivés dans le même environnement. La partie du limbe affectée est située à l’extrémité distale, ce qui signifie que les dommages sont survenus tôt au printemps, lorsque les bourgeons étaient gonflés, mais pas encore complètement ouverts ou sur les jeunes feuilles nouvellement formées.
Sur des feuilles d’ail des bois provenant d’un site naturel, présence d’un jaunissement à blanchiment de la partie distale du limbe. Les autres organes sont sans symptôme. Aucun virus ni phytoplasme n’a été détecté des dommages. Considérant la nature du symptôme et de la proportion de plants atteints (50 %), les symptômes sont d'origine non parasitaire. Des conditions climatiques néfastes sont probablement impliquées. Une forte intensité lumineuse en matinée, combinée à une température très froide la nuit, peut causer de tels dommages. Au laboratoire de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ, de telles observations ont déjà été notées chez le maïs et les céréales au printemps.
 
Il s’agit ici de l’ail des bois cultivé en sous-bois, à l’ombre de chênes et d’érables. Deux cultivars ont été plantés en alternance soit un cultivar d’ail rouge (Allium tricoccum) et un cultivar d’ail blanc (Allium tricoccum var. burdickii). De gros gels printaniers sont survenus en début de saison alors que les arbres n’avaient pas encore de feuilles. Seul le cultivar d’ail rouge a montré ces symptômes, laissant supposer une plus grande sensibilité variétale au gel et aux grands écarts de température puisque les plants étaient cultivés dans le même environnement. La partie du limbe affectée est située à l’extrémité distale, ce qui signifie que les dommages sont survenus tôt au printemps, lorsque les bourgeons étaient gonflés, mais pas encore complètement ouverts ou sur les jeunes feuilles nouvellement formées.
Ail des bois - Gel printanier et écarts de température (jour/nuit)
Ail des bois - Gel printanier et écarts de température (jour/nuit)
Ail des bois - Gel printanier et écarts de température (jour/nuit)
Ail des bois - Gel printanier et écarts de température (jour/nuit)
Description

Lorsqu’une forte intensité lumineuse est enregistrée en matinée à la suite d’une température très froide la nuit, les photosystèmes sont stimulés par la lumière, mais pas les réactions enzymatiques qui y sont associées, car le limbe est encore trop froid. Les réactions enzymatiques nécessitant une température minimale d’au moins 5 °C pour un bon fonctionnement. Dans ce cas, les chloroplastes s’oxydent et provoquent des anomalies de coloration (jaunissement à blanchiment) du limbe. C’est la photooxydation. Ce problème non parasitaire est occasionnel et mineur.

Symptômes et dommages

Feuille : présence d’un jaunissement à blanchiment souvent dans la partie distale du limbe. Parfois présence d’une constriction sur le limbe.