À la face supérieure d’une feuille de pomme de terre (cv 'Goldrush'), présence d’un brunissement des folioles qui affecte surtout les feuilles terminales, mais également quelques feuilles médianes et basales. Le brunissement débute à la marge et progresse entre les nervures. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone.
À la face inférieure d’une feuille de pomme de terre (cv 'Goldrush'), présence d’un brunissement des folioles qui affecte surtout les feuilles terminales, mais également quelques feuilles médianes et basales. Le brunissement débute à la marge et progresse entre les nervures. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone.
À la face supérieure des feuilles de pomme de terre (cv 'Goldrush'), présence d’un brunissement des folioles des feuilles médianes et basales. Le brunissement débute à la marge et progresse entre les nervures. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Le conseiller agricole mentionnait que les feuilles plus ombragées et les nouvelles feuilles ne portaient pas ou peu de symptômes, ce qui soutient davantage ce diagnostic. Notez que le virus Y de la pomme de terre (PVY) n’a pas été détecté des dommages.
À la face inférieure des feuilles de pomme de terre (cv 'Goldrush'), présence d’un brunissement des folioles des feuilles médianes et basales. Le brunissement débute à la marge et progresse entre les nervures. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Le conseiller agricole mentionnait que les feuilles plus ombragées et les nouvelles feuilles ne portaient pas ou peu de symptômes, ce qui soutient davantage ce diagnostic. Notez que le virus Y de la pomme de terre (PVY) n’a pas été détecté des dommages.
Gradation de l’anomalie de coloration à la face supérieure des folioles de pomme de terre (cv 'Goldrush'). Le brunissement débute à la marge et progresse entre les nervures pour occuper presque tout le limbe. Les symptômes présents sur les folioles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Le conseiller agricole mentionnait que les feuilles plus ombragées et les nouvelles feuilles ne portaient pas ou peu de symptômes, ce qui soutient davantage ce diagnostic. Notez que le virus Y de la pomme de terre (PVY) n’a pas été détecté des dommages.
À la face inférieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez que le virus Y de la pomme de terre (PVY) n’a pas été détecté des dommages.
À la face inférieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez que le virus Y de la pomme de terre (PVY) n’a pas été détecté des dommages.
À la face inférieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez que le virus Y de la pomme de terre (PVY) n’a pas été détecté des dommages.
À la face supérieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes sont plus discrets à la face supérieure qu’inférieure. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez qu’aucun champignon n’a été détecté des dommages.
À la face supérieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes sont plus discrets à la face supérieure qu’inférieure. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez qu’aucun champignon n’a été détecté des dommages.
À la face inférieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez qu’aucun champignon n’a été détecté des dommages.
À la face inférieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez qu’aucun champignon n’a été détecté des dommages.
À la face supérieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes sont plus discrets à la face supérieure qu’inférieure. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez qu’aucun champignon n’a été détecté des dommages.
À la face inférieure des folioles de pomme de terre, présence d’un fin picotement brun, prenant l’aspect d’une moucheture. Le brunissement débute parfois à la marge et progresse entre les nervures. Les feuilles tendent à s’enrouler. Les symptômes présents sur les feuilles sont caractéristiques de ceux produits par l’action de polluants atmosphériques comme l’ozone. Notez qu’aucun champignon n’a été détecté des dommages.
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Pomme de terre - Polluant gazeux
Description

L’ozone est un polluant de l’air qui a des propriétés oxydantes sur les végétaux. En milieu rural, l’ozone est formé par un complexe de réactions photochimiques impliquant l’action du rayonnement solaire sur les oxydes d’azote (NOx) et les hydrocarbures (gaz d'échappement des automobiles et de la combustion des combustibles fossiles) transportés des grands centres urbains. Les dommages causés sont souvent associés à une zone de haute pression avec des masses d’air immobiles et un temps brumeux qui amènent des concentrations atmosphériques d’ozone supérieures à 80 ppb pendant 4 à 6 heures ou à 70 ppb pendant 1 à 2 jours. À cause des vents, la concentration en ozone est souvent plus élevée en milieu rural qu’urbain.
 
L'ozone pénètre dans les feuilles par les stomates lors d'un échange gazeux normal. Il cause des retards de croissance et rend les plantes plus sensibles aux maladies et aux insectes. Ce problème non parasitaire est difficile à diagnostiquer puisqu’il est causé par des gaz invisibles. Le recours aux relevés d’ozone par les différentes stations météo est très utile. La pomme de terre, le soya, la vigne et quelques légumes (haricot, concombre, laitue, radis, rutabaga, épinard, maïs sucré, tomate) sont très sensibles à l’ozone. Le haricot blanc peut être utilisé comme plante indicatrice du niveau des dommages à l’ozone à cause de sa très grande sensibilité. Il a été démontré que les plantes dicotylédones sont plus sensibles aux pertes de rendement causées par l'ozone que les plantes monocotylédones. Des pertes de rendement sont possibles sur des cultivars sensibles (ex. : Norland) qui sont exposés tôt en saison. Les dommages apparaissent plus souvent en bordure des champs qu’au centre. Les dommages sont occasionnels et mineurs. D'autres polluants atmosphériques pourraient toutefois être impliqués, notamment le nitrate de peroxyacétyle (PAN).

Symptômes et dommages

Le type et la gravité des dommages dépendent de plusieurs facteurs, notamment la durée et la concentration de l'exposition à l'ozone, les conditions météorologiques et la sensibilité des plantes.

Feuille : présence de petites mouchetures (< 1 mm de diamètre), d’anomalies de coloration ( beige, blanchiment, jaunissement, rougissement, bronzage au reflet métallique) et de brûlures. Parfois dépérissement des feuilles. Les symptômes se manifestent généralement entre les nervures à la face supérieure et traversent rarement le limbe. Chez la pomme de terre, les jeunes feuilles sont les plus sensibles.
 
Plant : ralentissement de la croissance et mort prématurée.

Ne pas confondre

Sur le feuillage de la pomme de terre, les dommages d’ozone peuvent être confondus avec le virus Y de la pomme de terre (PVY - taches nécrotiques et noircissement des nervures) ou à une sénescence prématurée.

Prévention

Pour prévenir les dommages causés par l’ozone, il faut utiliser les cultivars de pommes de terre les plus tolérants à l'ozone et favoriser le développement végétatif des plants jusqu’au début de la tubérisation, car c’est la période la critique pour les dommages par les polluants atmosphériques.

Références et liens

Banks E. (Ed) (2004). Air Pollution. Dans Potato Field Guide - Insects, Diseases and Defects. Publication 823. Ministry of Agriculture and Food, Ontario. p. 115-120.
 
Stevenson W. R., Loria R., Franc G. D. & Weingartner D. P. (Eds) (2001). Air Pollution Injury. Dans Compendium of Potato Diseases. 2e éd. APS Press. The American Phytopathological Society Press, St-Paul, Minnesota. p. 79.

http://www.omafra.gov.on.ca/french/crops/facts/91-058.htm

http://www.aces.edu/pubs/docs/A/ANR-0940/ANR-0940.pdf

https://agdev.anr.udel.edu/weeklycropupdate/?p=304