Des feuilles d'un pommier montrent un jaunissement du limbe et des nervures et quelques taches brun rougeâtre. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Des feuilles d'un pommier montrent un jaunissement du limbe et des nervures et quelques taches brun rougeâtre. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Des feuilles d'un pommier montrent un jaunissement du limbe et des nervures et quelques taches brun rougeâtre. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Des feuilles d’un pommier montrent une coloration brun rougeâtre du limbe entre les nervures. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Des feuilles d’un pommier montrent des brûlures du limbe entre les nervures et un jaunissement près de la marge. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Les brûlures observées à la face supérieure d’une feuille d’un pommier ne traversent pas le limbe. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Des feuilles d’un pommier montrent un jaunissement du limbe et des nervures, des taches brun rougeâtre et des brûlures. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Des feuilles d’un pommier montrent diverses anomalies de coloration de différentes intensités. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Des feuilles d’un pommier montrent diverses anomalies de coloration de différentes intensités. Les tests de laboratoire ont révélé la présence d’un phytoplasme et ce résultat a été conformé par le séquençage d’une partie de son génome. Selon le résultat du séquençage, il pourrait s’agir du phytoplasme de la jaunisse de l’aster.
Pomme - Phytoplasme de la jaunisse de l'aster_1
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Pomme - Phytoplasme de la jaunisse de l'aster_9
Description

Les phytoplasmes sont des bactéries sans paroi cellulaire ni rigidité et d’une forme variable (sphérique, allongée, irrégulière). Ils vivent dans le système vasculaire (phloème) des plantes et dans les insectes vecteurs. Le phytoplasme de la jaunisse de l’aster affecte surtout les cultures légumières et fruitières, les plantes ornementales et quelques mauvaises herbes. Chez le pommier, cette maladie est rare et généralement mineure.

Cycle de la vie

Chez le pommier, la jaunisse de l’aster peut être transmise par les cicadelles et le greffage. Les phytoplasmes parasitent de façon obligatoire les insectes vecteurs et le phloème des arbres dans lequel ils se multiplient. Les arbres infectés le sont à vie. La cicadelle de l’aster arrive des graminées sur lesquelles elle hiberne au stade d’œuf. Vers la mi-juin, l’émergence des larves coïncide avec l’arrivée dans les champs de graminées d’adultes provenant du sud et transportés par les courants d’air chauds. Les larves et les adultes sont donc présents dans les vergers de la mi-juin à la fin août. Au cours de la saison, les adultes colonisent d’autres cultures et infectent les plants lorsqu’elles se nourrissent. Pour transmettre la maladie, il faut que les cicadelles soient déjà porteuses. Les cicadelles s’infectent lorsqu’elles se nourrissent sur des plantes infectées. Une période d’incubation variant entre 2 à 3 semaines est nécessaire pour que les phytoplasmes se multiplient dans les cicadelles et aillent se loger dans ses glandes salivaires. Les phytoplasmes sont injectés dans l’arbre lorsque le vecteur se nourrit sur un arbre sain pendant une période de temps substantielle (min 8 heures) pour pouvoir contaminer le phloème. Les symptômes se manifestent dix jours à trois semaines après l’inoculation du phytoplasme dans la plante, selon la température et la plante. Tous les facteurs qui rendent les plantes succulentes ou luxuriantes augmentent les risques de dommages par les cicadelles (conditions pluvieuses, excès d’azote, etc.).

Symptômes et dommages

Feuille : présence d’anomalies de coloration variées (jaune, bronze, rouge, pourpre), feuillage clairsemé et dépérissement.

Ne pas confondre

Le phytoplasme de la jaunisse de l’aster peut être confondu avec des symptômes de carences minérales.

Méthodes de lutte

Pour diminuer cette maladie et la prolifération de cicadelles dans les champs, il faut prioriser la lutte aux mauvaises herbes qui sont des plantes réservoirs pour les cicadelles. Il fait désherber le long des fossés, des clôtures et dans les vergers, détruire les résidus de culture et assurer un bon suivi des populations de cicadelles au champ. La lutte chimique contre les cicadelles est disponible. Il faut également se procurer des arbres sains, exempts de maladies.